41e étape Tunis-Malte (217 milles)
Peuplée à partir de 5400/5200 notre
ère par des agriculteurs-éleveurs pêcheurs venant de Sicile en pirogue
monoxyle, escale phénicienne dès le Xe siècle avant notre ère, partagée
paisiblement avec les grecs à partir du VIIe siècle, Carthaginoise en -480,
romaine en -218, occupée par les Vandales puis les Ostrogoths, byzantine,
arabe, normande, l’île est concédée à l’Ordre de Saint Jean de Jérusalem par
Charles-Quint en 1530.
Ces derniers défendront Malte contre
les Ottomans jusqu’à ce que Bonaparte s’empare de l’île en 1798 mais les
habitants font appel aux Britanniques pour les libérer de la libération
française et des pillages qui en résultent. En 1802, le traité d’Amiens ordonne
le rétablissement de la souveraineté à l’ordre de Malte mais on ne déloge pas
les Britanniques par un bout de papier. Ils s’installent, imposent leur lange,
accaparent le pouvoir politique et économique de l’île et jouissent de sa
situation stratégique, clé de la Méditerranée avec Gibraltar.
En 1974 que Malte proclame la
république. Elle est indépendante pour la première fois de son histoire.
(d’après Wikipedia).
9h38. Moteur.
9h50. Autorisé au décollage piste 11.
Alignement.
Décollage...
et cap sur Malte.
Je passe sur Rome contrôle.
Le niveau 245 est atteint en 22 minutes.
338 nœuds sur le sol. Nominal.
A 10h26, j'entame la descente.
Arrivée sur l'archipel.
Pas de vent. Approche par la mer en 32.
Je sors le train avant d'entamer la vent arrière. Toujours ça de pas oublié...
FS a badigeonné l'île de prairies bien britanniques !
Descente vers mille pieds AGL. La piste est à 300 pieds d'altitude.
Autorisé à atterrir.
Virage vers la finale, 135 Mph sans les volets.
En courte.
Atterrissage au télé-objectif.
Bretelle.
10h52, porte 7.
57 minutes de vol, 1h14 de bloc à bloc, GS 228 Kt, conso : 65 gallons.